Au commencement, il faut toujours un commencement. Un moment où tout commence, où l’on se dit que c’est peut-être le bon moment. Un moment où on se réveille, où l’on se dit “et pourquoi pas moi ?”.

Au commencement, il y a une idée. L’idée de publier ce que je cache dans les tiroirs. L’idée de créer un blog qui me ressemble. L’idée d’un nom qui me colle aux baskets.

Au commencement, il y a une rupture, une crise, une cassure. Une crise qui nous fait poser les questions sur l’essentiel. Une crise qui fait prendre conscience que si les autres osent, pourquoi pas moi ?

Au commencement, il y a une rédac’ en basket. Une rédac’ qui a toujours la plume en tête, qui écrit comme elle pense, qui pense comme elle écrit.

Au commencement, il y a toi. Toi qui va lire, toi qui va aimer, toi qui va détester, toi qui va partager, toi qui va dire “enfin” ou toi qui va dire “ben pourquoi ?”.

Au commencement, il y a toujours un commencement. Et ça, c’est bien !